En fait de nouvel arrivant, je suppose que vous faites référence aux nouveaux entrants.
Dans le référentiel national qualité, les nouveaux entrants sont les prestataires (quelles que soient leurs activités : formation, bilan de compétence…) qui démarrent leur.s activité.s.
Non pas qui ont une « idée d’activité », mais qui ont déjà enclenché des prestations ou au moins contractualisé ces dernières.
Ils demeurent en devoir de répondre à chaque exigence les concernant, mais les preuves ne peuvent être délivrées pour certaines et donc, lors de l’audit, ils doivent démontrer la manière dont ils procèdent ou vont procéder pour attester de la conformité.
L’évaluation un an et demi plus tard assurera de valider que ce qui était prévu à bien été réalisé et que le prestataire est alors en mesure de répondre, avec des preuves de réalisation, de l’ensemble des exigences qui le concernent.
C’est le cas des indicateurs 2, 3 et 11 (il n’est à priori pas possible de d’évaluer et de communiquer sur le niveau de performance et d’accomplissement, ainsi sur l’atteinte des objectifs, avant d’avoir des prestations réalisées), ainsi que des indicateurs 13, 14 et 19 (faute de mise en œuvre encore possible), de l’indicateur 22 (qui s’entend dans le temps), des indicateurs 24 et 25 (parce qu’une activité démarrant devrait être au fait de cette veille à son point zéro d’existence), de l’indicateur 26 (s’il n’y a pas encore eu de nécessité d’accueil de public en situation de handicap) et, pour finir : de l’indicateur 32 (qui nécessite le temps du retour d’expérience et de la réalisation des prestations pour permettre l’identification des améliorations ou corrections).
Bonjour,
En fait de nouvel arrivant, je suppose que vous faites référence aux nouveaux entrants.
Dans le référentiel national qualité, les nouveaux entrants sont les prestataires (quelles que soient leurs activités : formation, bilan de compétence…) qui démarrent leur.s activité.s.
Non pas qui ont une « idée d’activité », mais qui ont déjà enclenché des prestations ou au moins contractualisé ces dernières.
Ils demeurent en devoir de répondre à chaque exigence les concernant, mais les preuves ne peuvent être délivrées pour certaines et donc, lors de l’audit, ils doivent démontrer la manière dont ils procèdent ou vont procéder pour attester de la conformité.
L’évaluation un an et demi plus tard assurera de valider que ce qui était prévu à bien été réalisé et que le prestataire est alors en mesure de répondre, avec des preuves de réalisation, de l’ensemble des exigences qui le concernent.
C’est le cas des indicateurs 2, 3 et 11 (il n’est à priori pas possible de d’évaluer et de communiquer sur le niveau de performance et d’accomplissement, ainsi sur l’atteinte des objectifs, avant d’avoir des prestations réalisées), ainsi que des indicateurs 13, 14 et 19 (faute de mise en œuvre encore possible), de l’indicateur 22 (qui s’entend dans le temps), des indicateurs 24 et 25 (parce qu’une activité démarrant devrait être au fait de cette veille à son point zéro d’existence), de l’indicateur 26 (s’il n’y a pas encore eu de nécessité d’accueil de public en situation de handicap) et, pour finir : de l’indicateur 32 (qui nécessite le temps du retour d’expérience et de la réalisation des prestations pour permettre l’identification des améliorations ou corrections).